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| Sujet: Callum Hanna McAllister Mar 7 Déc - 22:51 | |
| HEALING HEARTS ▬ HEARTLAND ______________________________________________________ h e a l i n g . h o r s e s , h e a l i n g . h e a r t s Callum Hanna McAllister - 19 ans « Sweet hell, the infinite hallucination. » (c) HaMin Yu | Biographie. Naitre dans une famille riche semble pour beaucoup de personne être une chose fort bien. Il faut dire, que tout le monde s’imagine riche, lançant l’argent au dessus de sa tête avant de sauter dans une piscine remplit de billet. Mais, stop ! Je vous arrête de suite, la vie d’un garçon unique dans une famille aisée ne veux absolument pas dire cela. On pense pas aux parents absents, à la nourrice à la poitrine fort généreuse, bien que cela peut être un bon point pour lui, qui vous attrape pour vous soulager par de nombreux baisers baveux de l’absence parental. Des cours à la maison où vous devez savoir tout faire ! Aussi bien parler Français, Mandarin, Anglais et un peu Espagnol pour ma part. On doit aussi savoir jouer de la musique, je suis un professionnel du Violon à présent et un peu du piano. Le sport ne doit plus avoir aucun secret pour vous et enfin quand il vous reste cinq minutes de libre dans la journée vous devez livre des livres politiques ou sur l’économie dans le monde. Oui, qu’elle merveilleuse vie n’est-ce pas ? Alors avouez-vous envie de prendre sa place ? Il se ferra une joie de le faire. De plus, il ne faut pas s’étonner de ses comportements parfois froid et très distant avec les personnes proche de lui alors que la foule se fait grande. On lui a appris à toujours paraitre, mais ne vous en faites pas vraiment car il y a le paraitre et l’être. Et malgré son apparence froide il n’est pas ainsi. Mais continuons son histoire, Callum a suivis donc des cours à domicile ayant un précepteur pour faire son éducation la mieux qu’il soit. Ayant que rarement vu l’extérieur de la propriété de ses parents cela fut comme une délivrance pour lui de pouvoir venir dans ce pays, qui semblait alors si merveilleux à ses yeux. Ses parents avaient entendu tellement de bonnes critiques sur un établissement dans le pays et c’est ainsi qu’ils décidèrent de libérer leur fils de sa prison dorée pour le catapulter seul sans personne à Hudson. Radical, comme situation mais après tout, Callum n’avait fait que demander d’être en dehors de chez lui. Mais, l’histoire semble devenir belle pour notre petit héros car depuis son arrivé, il a vécut dans de fabuleuse histoire ! Rencontré l’amour, le perdre, en trouver un autre, se lier d’amitié, se défaire de cet ami… Bref, il vit selon lui une vie normale d’un étudiant normal ! Rien de surprenant. Il faut dire qu'a part l’équitation rien ne compte réellement pour le jeune homme. Car oui, je ne vous l’ai pas dit mais la jeune homme est l’heureux propriétaire d’une belle jument du drôle de nom de Kit Kat Fusion, surement une envie de ne pas être comme les autres encore. En tout cas, le jeune homme se débrouille plutôt bien et monte à cheval depuis l’âge de dix ans. C’est pour ses quinze ans qu’il eut la chance d’avoir une pouliche à Noel. Donc oui, vous l’aurez compris Kit Kat Fusion à juste quatre ans et déborde d’énergie, toutefois son débourrage est enfin terminée. Les bleus sur les fesses de Callum peuvent témoigner que cela ne fut pas une affaire simple à réaliser. Personnalité. Un jour bien un jour moins bien, comme tout le monde sur cette planète Callum, n’est pas continuellement de bonne humeur, au contraire cela semble être parfois dur pour lui au réveil. Etant rarement de bonne humeur en se levant beaucoup de personne décidèrent de rapidement l’éviter du matin. Sage décision. Mais, non vous en faite pas, le jeune homme reprendre vite le flambeau et il se remit à sourire légèrement. Oui, Callum Hanna n’est pas forcément des plus expressif niveau sentiment, il lui arrive certes d’exploser émotionnellement mais seulement devant ses amis très proches. Vous ne serez que très peu à le voir rire de bon cœur dans les couloirs ou alors faire des histoires avec une autre personne au détour d‘un box. Effectivement Callum passe souvent pour un jeune homme froid et vide d’émotion. Alors quand réalité il s’agit d’un jeune français discret. Ce n’est pas pour autant qu’il manque à son rôle de mâle et ne se montre pas pervers au contraire ni coureur de jupon voire de pantalon… N’étant pas stable il reste difficilement très longtemps en couple, ayant comme une certaine envie d’aller voir ailleurs, son cœur d’artichaut semble pouvoir aimer tout le monde ou presque. En réalité si vous voulez découvrir un Callum expressif au plus haut point il suffit d’être sur que personne pourras le surprendre a faire l’imbécile dans les couloirs, non pas qu’il porte une forte importance à son apparence devant les autres mais ayant un rang parfois privilégié selon certaines mauvaises langues grâce à la place de son père qui se trouve être un politicien Callum a vite appris à se montrer discret et froid devant une masse d’inconnu. C’est comme un réflexe chez lui alors qu’il peut se montrer très affectueux et souriant. Ah oui ! Chose importante à savoir, le jeune homme est un sale petit voyeur faite attention il peut toujours se cacher dans un coin alors que vous prenez votre douche ! Relations. Venant d'arriver, le jeune Callum ne connait pas encore grand monde donc à vous de me dire par la suite si vous voulez le connaitre ! OPTION VOULUE ; cavalier. || Feat Alex Evans
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Derrière l'écran ; toiPrénom ; Hortense Âge ; 18 ans Exemple RPG* ;- Spoiler:
Alors pour information il s'agit d'une relation entre deux hommes, ne soyez pas choqués, bien sur il ne se passe rien qui pourrait dégouter les personnes n'appréciant pas cela. Ah ! Il s'agit d'un récit à la première personne également vous qu'habituellement je RP de cette façon. Bonne lecture =) - Shou Fujimori a écrit:
Le cœur brisé, le cœur fusillé, le cœur perdu, rien ne semblait aller bien depuis ce jour. Je ne censé de me dire que si j’avais agit d’une autre façon, que si je lui aurais avoué mes sentiments avant, si je l’aurais protégé d’une meilleure façon si jamais je ne l’aurais pas rencontré. Peut-être alors que nous aurions pas souffert tous les deux, de ma stupidité et de mon égoïsme. Mais ne pas l’avoir connue aurait remplit mon cœur d’un énorme vide. J’ai beau refaire l’histoire depuis le début je ne peux penser un seul instant que nos chemin ne se serraient jamais croisés. Il parait que quoiqu’il arrive notre âme sœur, notre destin, Akai Ito, nous pousse continuellement à nous rapprocher. J’ignore si nous avons ce fichu fil rouge qui nous relient tous les deux mais en tout cas, je veux y faire un nœud, je veux forcer le destin à me le rendre, à me laisser prêt de lui à nouveau. Je n’aime plus cette vie, loin de lui. Un an… Un an depuis l’hôpital que je suis sans le voir, sans sentir ses cheveux glisser lentement sur ma peau, sentir son odeur me rendre fou, sans son sourire, sans sa voix, sans tout de lui, qui fait que je l’aime. Je veux l’aimer encore un peu, s’il vous plait, laissez moi l’aimer encore plusieurs années sans me lasser de penser à lui continuellement. Laissez moi encore mes souvenirs, mes rêves pour rester encore par la pensée auprès de lui. Bou, tu me manques plus que j’aurais pu le croire, la douleur que j’ai put ressentir au niveau de mon cœur alors que je me faisais tirer dessus me semblait si ridicule comparé à la douleur que je ressens à cause de ton absence. Je n’aurais pu imaginer un jour qu’une si longue absence pourrait exister entre nous, certes, nous avons souvent était séparés. Mais après l’orage, le soleil remontre le bout de son nez. Je garde alors l’espoir enfantin, de te revoir alors au détour d’une ruelle-même alors que j’étais encore en Corée. J’espérais pouvoir te revoir pouvoir courir vers toi et te serrer contre moi. Oh Bou, ton absence me détruit lentement. Moi qui me suis battu contre la mort dans l’espoir de pouvoir te revoir. Nous voilà séparé à nouveau, la vie ce joue bien trop de nous. Mais, la séparation rend l’amour plus fort non ? Je veux y croire, je n’ai jamais censé de t’aimer mais en sera-t-il de même pour toi ? J’ai peur, peur que tu ais réussi à m’oublier avec un autre, peur que tu puisses ne plus rien ressentir pour moi. J’ai cette horrible peur qui grandit en moi alors que je pose un pied hors du taxi qui m’a amené au ranch. Je lève les yeux un peu rêveur alors que je paie rapidement le chauffeur qui descend mes deux grosses valises à côté de moi. Je n’avais aucun raison de venir ici de nouveau, j’étais de nouveau riche, l’argent me glisser entre les doigts sans arrêt, je suis devenu un peu célèbre en Corée. J’aurais pu avoir tout là bas. J’y avais tout ? La réponse est forcément négative, il me manque le plus important. Ma moitié, ma princesse trop masculine au final, mon amant, ma raison d’être. Je vais reconquérir ton cœur Bou, alors tiens toi prêt. Je ne sais pas si cela sera simple ou non, mais en tout cas, je ne laisserais pas tomber. Je te couvrirais de présent, si jamais tu te serais trouvé un homme riche et puissant, je te montrerais mon amour sans égal pour toi si tu oses sortir avec un vulgaire type sans intérêt. Je te ferrais rire à te tordre sur place pour battre n’importe quel idiot du coin. Je ferrais tout, pour te ravoir, je ferrais tout pour que tu sois à nouveau à moi.
Un soupire s’échappa d’entre mes lèvres alors, que je mettais à marcher en trainant mes valises vers le ranch. Je sentais à la fois mon cœur battre à tout rompre mais aussi ce dernier me faire encore plus mal. Et si jamais il n’étais pas revenue ? S’il ne voulait plus me voir ? Par ma faute il a finit en prison. Rien que l’idée qu’on ai pu lui faire du mal là bas me donner des pulsions de violence à offrir à quiconque oserait me dire le mal qu’il aurait pu lui faire. Je ne suis certes, pas fort, ni super musclé, ni d’un courage exemplaire, mais je serais capable de tuer pour lui et même si c’est en utilisant la manière la plus lâche possible, si je peux le sauver je le ferrais. A-t-il penser de la sorte alors que la vie semblait s’échapper de mon corps ? A-t-il agit par amour pour moi ? Ou juste dans le but de se sauver lui ? Non ! Je ne peux commencer à douter aujourd’hui, le jour où j’ai décidé de scotcher, de nouer nos fils rouge dans le but de le lier à moi et ne plus jamais le perdre. Oui, il m’aime, j’en suis persuadé. Ou du moins, il m’a aimé et j’ose espérer presque stupidement que c’est encore le cas. Rentrant dans le ranch je ne me préoccupé pas des personnes qui se mouvaient autour de moi, j’allais directement demander le numéro de ma chambre pour y filer y déposer mes affaires avant de partir à la recherche de mon amour. Je ne savais pas par où commencer, il y a tant de lieux et à la fois si peu, que tout cela me rendais dingue. Par où je devais commencer ? Peut-être le tour du Ranch ? Non, cela est trop simple, la vie ne nous laisse pas face à la facilité alors autant chercher ailleurs, cela serait trop beau que à peine arrivé Bou soit déjà là, sous mes yeux. Je passais ma main dans mes cheveux tout ne grognant quelque peu, où est-il allait ? Je devais écouter mon cerveau qui semblait monter des possibilités toutes plus insolites les unes par rapport aux autres ou suivre mon cœur. Je fermais lentement les yeux alors qu’un léger sourire se dessinait sur mes lèvres, je devais le revoir il n’y avait qu’un seul lieu qui me semblerait le meilleur. Le seul synonyme de de bon souvenir, le centre commercial. La boite de nuit, en plein jour semble impossible de plus ayant eu des problèmes là bas, je ne pense pas que ce soit l’endroit idéal, l’hôpital… Cela est tout simplement inenvisageable. Il ne restais donc que ce lieu, là où tout à commençait. Il faut bien un début et je compte recommencer notre histoire à cet endroit. Bien que finalement, il n’y ait pas eu de réelle fin entre nous.
Poussant rapidement les portes du centre commercial, je ne pus m’empêcher de regarder rapidement autour de moi. Je sentais mon cœur s’accélérer légèrement alors que j’avais l’impression que cela était hier que j’avais passé cette porte dans le but de voler de l’argent, au final j’étais ressortis d’ici en y volant le cœur d’un jeune homme. Dire qu’au début je n’en avais qu’après son argent, mais je suis vite tombé sous le charme du blond. Je m’avançais regardant chaque vitrine comme ci ces dernières au fur et à mesure de mes pas me faisait revivre cette histoire d’avant. Je voudrais tellement revenir en arrière changer tout, pour avoir la chance d’y voir inscrit à la fin de notre vie un magnifique ‘Happy End’. Oh, cela est surement idiot non ? Penser que je peux changer le destin le futur mais je n’ai d’autre choix qu’espérer que ce dernier puisse m’aider un peu. Marchant sans veiller à où je pouvais poser les pieds je sentais rapidement une chose molle sous mon pied gauche, un léger cri se fit entendre alors que je reculais de deux pas en écarquillant les yeux. Le sol se met à crier à présent ? Mon regard se posa alors rapidement sur un vieil homme assis par terre, il semblait faire la manche n’ayant surement rien à se mettre sous la dent. Le regard du vieil homme me fit frissonner, je n’aimais pas vraiment ce que je pouvais y lire, un mélange de haine et de mépris. Il semblait m’en vouloir pourtant cela n’avait rien à voir avec ma tenue plus fils-fils à papa, il faut dire que je ne baladais avec une chemise noir ouverte en dessous du quel j’avais mis un t-shirt noir avec en blanc les contour d’un chien aux allures comiques. J’avais un jean basic et des converses rouge qui semblaient ne pas aller du tout avec le reste de mes affaires. Mes cheveux parfaitement bien coiffé ne semblait pas être non plus la cause de son regard. Je plongeais alors ma main dans ma poche sortant de cette dernière un billet. Je m’avançais vers une boulangerie à l’angle de la rue pour alors y acheter un pain au chocolat et une bouteille d’eau. Ce n’étais pas grand-chose mais malgré le fait que j’étais à nouveau riche je ne me baladais pas avec ma carte bleu sur moi, ayant surement trop l’habitude qu’elle soit vide. Je le tendis à l’homme tout en lui souriant gentiment. Le regard de l’homme semblait changer quelque peu alors que pour ma part, le mien semblait remplit d’inquiétude. Et si pendant ce laps de temps j’avais perdu la trace de Bou. Je sentais l’angoisse monter rapidement en moi, je me tournais cherchant du regard mes souvenirs arraché par le vieil homme. J’étais sur que j’aurais pu le retrouver si j’aurais continué mon chemin et pourtant je n’aurais pu envisager un seul instant de le laisser sans rien.
Une légère pression se fit sentir au niveau de mon poignet droit, me faisant me retourner rapidement. Peut-être l’espoir d’y voir Bou mais, il s’agissait toujours du vieil homme qui avait désormais un tout autre regard, remplit cette fois de compassion. Je fronçais les sourcils a la vue de son petit tableau qu’il pouvait tenir dans ses mains. « Je connais la voie de ton bonheur. » Assez perplexe je souriais à l’homme de façon peu rassuré. Ce dernier leva alors sa main vers mon visage ce qui eu pour effet de me faire reculer aussitôt. Non, je ne crains pas la saleté évidente de l’homme, ni son odeur peu amicale mais je ne trouvais pas cela très rassurant. J’avais l’impression que j’allais traverser tout le centre commercial étant ainsi avec cet homme. Je me stoppais alors brusquement, au même moment que le vieil homme baissait son bras pour m’adresser un léger sourire. Je trouvais cela de plus en plus bizarre et il semblerait que mon expression sur mon visage était assez amusante pour faire rire l’homme.
Shou - « Je peux savoir à quoi vous jouez ? »
Le sourire du vieil homme ne quittait plus son visage et il semblait serein et reposé. Il retourna son ardoise vers lui gribouillant quelque chose avec le minuscule bout de craie qu’il pouvait y avoir. Je soupirais en lisant ce qui étais écrit. « Ne perd jamais espoir, la vie est belle. » Je levais les yeux au ciel ayant du mal à y croire.
Shou - « Je ne pense pas que ce soit vraiment le cas, surtout venant d’un homme qui semble malheureusement pas avoir une vie si belle… »
Le vieil homme efface du revers de sa manche de veste déchirée pour alors noter autre chose. Je regardais l’homme faire assez curieux de voir ce qu’il pourrait bien y noter. Je dois avouer que j’étais curieux de savoir ce qu’il pourrait me marquer, comme merveilleuse phrase, j’ai une préférence pour, Un lion mort n’existe pas, il dort. Mais bon, va-t-il lui aussi annoncer la fin du monde si proche qu’aucun de nous va survivre ? « Je suis heureux en voyant la bonheur des autres… A présent, retourne toi, Idiot. Je t’ai dis que je te conduirais vers ton bonheur, c’est-ce que j’ai fait. » Je regardais l’homme restant assez septique. En quoi cet homme qui semblait avoir le cerveau trop cuit à cause des néons du centre commercial pouvait me conduire à mon bonheur ? Je soupirais peut convaincu par le vieil homme et pourtant, la curiosité semblait me pousser à le faire. Il avait surement raison, il m’avait conduis à mon bonheur, une foule de personne qui passe juste sous mon nez. Mais quel artiste cet homme. Je me retournais dans le but de crier contre l’homme, toutefois ce dernier avait disparu. Aucune trace de vie ou de passage de sa part. Un léger frisson me dévala le dos, me laissant peut rassuré. Je me retournais tout de même de nouveau commençant à pester contre le pauvre homme qui m’avait fait perdre un temps précieux. Je commençais à réellement perdre espoir de revoir Bou avant au soir. Mais, sans comprendre comment, peut-être par magie. La foule se dispersa rapidement, il n’y avait pas grand monde à la base mais bien trop pour me boucher la vue.
Mon cœur fit un énorme bond dans ma poitrine alors que je sentais ma respiration se saccader. J’avais du mal à y croire. Bou … Tu … Tu es là. Je sentais mes yeux me picoter légèrement. Ma respiration me semblait soudainement bien difficile mais ce n’étais pas le moment que mon corps me joue de mauvais tour. J’avais là, à quelques mètres de moi, la personne qui compte le plus à mes yeux. J’avais du mal à y croire et pourtant c’était vrai. Je restais là encore quelques instants à le fixer longuement avant de me mettre à faire quelques pas vers lui. Je me stoppais à nouveau, le fixant sentant des bouffés de chaleur m’envahir, j’avais peur, je l’avoue, peur qu’il disparaisse d’un seul coup que cela soit mon Oasis invisible au milieu du désert. Il semblait aller si mal. Est-ce à cause de moi ? Je me remettais en marche sur de moi. Alors que je venais m’accroupir devant lui. Je fermais les yeux, ayant son odeur revenant à moi. Oh Bou. Je voudrais te serrer dans mes bras mais je voulais en premier temps croiser ton regard, voir ton visage, voir ta réaction. Oh mon amour, tu m’as tellement manqué, que j’ai du mal à croire que cela peut-être si facile, si simple. Je passais doucement ma main dans ses cheveux. Ce contact me fit sourire alors que mes yeux semblaient étrangement rouge.
Ma gorge était nouée, incapable de prononcer un mot de plus je restais sur place à regarder mon âme sœur. Je fermais à demi les yeux en inspirant son odeur, je venais rapprocher mon visage du sien alors que je constater déjà un peu de sa maigreur. Il semblait avoir souffert bien plus que moi. J’avais presque honte d’avouer qu’il m’avait manqué en me présentant ainsi devant lui. Laissant ma main glisser dans ses yeux je ne pouvais que me sentir remplit d’une immense joie. Et dans un miroir décoratif derrière Bou je pus y voir le vieil homme souriant avec son petit tableau avec inscrit « J’avais raison. » Je me mettais à rire légèrement bien que ce dernier semblait être secoué par des sanglots nerveux. Je l’avais retrouvé. Il était là avec moi de nouveau. Le vieil homme avait raison, il connaissait le chemin vers mon bonheur. Avis sur le forum ; Il me plais bien =) au passage je rp à la première personne d'habitude donc soyez indulgent au début. Merci. D'où tu le connais ; Partenaire avec Akai Ito ♥ Codes* ; validés par ally-hope. Champs marqués d'un * : obligatoirement obligatoires. Formulaire par (c) Werewolf (anciennement Tecks) ne pas reproduire. |
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