Une arrivée compliquée [libre]

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Nous arrivions en vu du Ranch. La route avait été longue, nous venions de loin. dans la voiture il y avait ma mère mon père et moi. je n'avais pas dis un mot de tout le trajet. l'ambiance était tendue. En effet derrière la voiture était acroché le van contenant Serpico et j'avais bien précisé que je ne voulais pas de lui ici. Mais comme d'habitude ils ne m'avaient pas écouté ! Donc qu'ils ne s'attendent pas à ce que je leur adresse la parole pendant un bon moment. la route était accidentée, il y avait pas mal de secousses. je regardai à travers la fenêtre et vis le Ranch au bout de l'allée. Ca paraisait un peu vieillot, au mileiu de la campagne, entouré de champs mais j'aimais bien ça. J'allais passer un séjour agréable. Soudain je repensais à ma jument. Mon regard se voila. J'aurai tant aimé partager cette expérience avec elle ! Mais elle n'est plus là...Je me reprit avant de pleurer. pas devant mes parent. jamais. Au lieu de ça je regardais avec curiosité les alentours et m'apliquai à inspecté les moindres recoins. On se gara de façon à ce que le van soit le moins loin des écuries. Une fois le moteur arrêter je déscendit de la voiture. Mon père alla ouvrir le van et ma mère m'appela :

Lolita ! Va aider ton père à déscendre Serpico s'il te plaît ma chérrie

Je la regardai, elle avait un sourire tendre sur le visage, un sourire de mère pleins d'affection. mais je n'étais pas encore apte à lui pardonner. sans un mot j'allai à l'encontre de mon père. Il me tendit la longe. Il fallait que je le fasse moi même évidemment ! je pris donc la longe bien décidée à me débarasser de cette tâche éprouvante au plus vite. Chaque cheval que je voyais me faisait penser à ma Rêveuse. En particulier Serpico puisque maintenant il était à moi. je montai dans le van. Défis consciencieusementle noeud d'attache, j'attachai la longe avançais vers la sortie du van. C'est tout juste si je le regardai, c'était trop douloureux donc je préférai être froide et distante plutôt que d'être affectueuse et gentille. L'entier me suivit quelque pas puis au moment de déscendre se stoppa. Je me retournai et tirai sur la longe délicatement en regardant ses membres. Il ne bougea pas. je recomençais mais cette fois ci il recula. Quesqu'il avait bon sang ?! Sans un mot je tendis la longe a mon père qui me fis non de la tête. Puis il ajouta :

C'est toi qui doit le faire.

Comment ne pas s'énerver vous pouvez m'expliquer ?? je répondis le plus gentiment possible :

Mais papa ! Tu vois bien qu'il ne veut pas avancer avec moi ! prends le !

ma mère apparu et devant mon regard perçant elle vînt près de moi et pris le cheval. Je ne lui dis ni merci ni merde et descendi du van le plus rapidement possible. Je m'adossai à la voiture les bras croisés sur la poitrine ne regardant même pas comment ça se passait. Entendant les vociférations de mon père, la voix énervée de ma mère et les appels "Allez Serpico !" je compris que mon père n'était pas content des agissements de ma mère et qu'ils n'arrivaient pas plus que moi à faire bouger ce cheval. Super l'arrivée.

Je profite d'avoir fini de réviser mes math et ma physique pour te répondre, et je m'excuse du retard. Je ne pourrais te répondre avant les vacances, la semaine d'épreuves commence dans deux petits jours

Kerya.Lys.David

Un mal pour un bien

Pourquoi? Voilà une question qui revient bien souvent dans la tête d'un bon nombre de personne vivant sur terre. Pourquoi? Une question qui tient en un seul mot mais qui est surement la plus importante de toute. Pourquoi? Des millions de raisons peuvent susciter cette interrogation. Tout le monde se l'est déjà posé au moins une fois durant sa vie, et Kerya Lys David n'arrivera pas à passer à travers les mailles du filet.

Le bruit brutal d'une portière claquant, suivit d'un magnifique tintamarre retentissant, sortit la brune de sa torpeur. La jeune fille debout en face d'un de ses miroirs, les yeux flous, le regard absent jusqu'alors fixait son reflet, vêtu simplement de sous-vêtements, elle fut reconnecté à la réalité en un fraction de seconde. Levant à peine la tête, la propriétaire de la chambre reporta son attention quelques secondes sur sa silhouette qui s'affinait de semaine en semaine avant d'ouvrir son dressing. Étant déjà maquillé et ses cheveux brushingués reposant sur ses frêles épaules. Kerya prit un slim noir, des cuissardes noir à talon, un débardeur nacré quelle mit par dessous un gilet émeraude puis enfila un blazer noir qu'elle laissa ouvert. L'héritière observa son reflet en soupirant, heureusement que la haute couture existe même ici pensa la jeune fille en prenant comme toujours son portable mais également le reste de son petit-déjeuner le moitié de sa pomme.

Lorsque la demoiselle fut à l'extérieur de la maison des fleming, elle observa un van ainsi qu'une voiture dans la cour. Elle pouvait entendre d'ici les voix des occupants, et ils semblaient se disputer. Kerya se massa les tempes quelques instants, avant de s'avancer. En temps normal, jamais elle ne serai aller au secourt d'autrui, mais si ce bouquant ne prenait pas bientôt fin sa tête allait exploser. Une blondinette sortie de l'arrière du van, la miss ne lui porta pas plus d'attention, avant de s'engouffrer à l'intérieur du monstre de fer. Une fois ses yeux habitué à l'obscurité ambiante, Kerya distingua un homme et une femme surement les parents de l'autre pensa la brune. Ils étaient accompagnés d'un cheval qui en vu des paroles des occupant du véhicule refusait d'avancer.

-Reculez, il y a trop de monde autour de lui.

Elle avait prononcer ses paroles d'une voix froide. Honnêtement elle se fichait totalement de l'équidé, d'ailleurs la constatation qu'elle venait de faire n'avait rien d'extraordinaire, les lads de son père devait toujours être seul pour faire sortir Sunlight d'un van, il était déjà difficile à maitriser en temps normal, mais jouter du monde ne faisait qu'augmenter le niveau de stress de n'importe quel cheval. Les deux personnes ne prononcèrent pas un mot et sortirent du van. La jeune fille avança de quelques pas en direction de l'hongre (?). Ce dernier recula d'un pas. Exaspérer l'ancienne championne, tendit la moitié de la pomme qu'elle tenait dans sa main, une demi pomme, s'était déjà énorme pour un petit-déjeuner selon les critères de la David, déjà qu'à l'habituel elle ne mangeait strictement rien. L'équidé eu un temps d'hésitation avant de s'approcher et de tout doucement happer du bout de ses lèvres le fruit et de l'avaler goulument. Alors Kerya combla l'écart qui la séparait du cheval et prit en main la longe. D'un claquement de langue, elle lui intima l'ordre d'avancer. D'une main ferme elle accompagna l'appel en exerçant une légère pression vers l'avant du mousqueton. Le cheval n'opposa que très peu de résistance, ils descendirent alors tous deux la rampe pour atteindre l'air frais du dehors. Une fois ceci effectuer, l'héritière tendit la longe à l'homme qui la prit. Puis elle prononça quelques mots avec la même froideur que les premiers.

Allez vous adresser à Ally-hope, c'est elle qui gère les nouveaux arrivants.

Elle accompagna sa tirade d'un léger geste de la tête en direction de la maison dont elle était sortie quelques minutes plutôt. Puis elle fit volte face pour se retrouver devant la jeune fille blonde.

Amène ton cheval à l'écurie, c'est là qu'est sa place. Les box libres sont marqués.

Elle allait retourner dans le confort de sa chambre, mais un étourdissement la força à s'adosser à la paroi du van. C'est alors qu'une voix féminine retentit.

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j'entendis de bruit de pas sur le sol en terre dur. Puis une voix que je ne connaissais pas. Je levais les yeux. Une jeune feme brune avait pris mon cheval des mains de mon père et était entrein de le faire désendre du van. Elle avait le regard frois et ne paraissait pas très accueillante. Par contre avec mon Entier (;D) ça pour l'être elle l'était ! Complètement douce et chaleureuse pff !je fus soudain envahie d'une vague de jalousie irréprésible. Comment osait-elle le toucher sans mon autorisation? Puis elle vînt vers moi. je m'étais redressée et a regardai avec froideur. Elle se posta devant moi, me tendit mon cheval que je pris avec nonchalence en m'ordonnant d'aller m'adresser à Aly Hope et de placer mon cheval à l'écurie. Mes yeux lui lançèrent des éclairs et je répondis de mauvaise huemeur :

Oui je suis au courant merci !

je me dirigeai ensuite vers les écuries entrainant Serpico qui parraissait plus calme et sans un regard en arrère. Encore si elle avait été aimable cette meuf j'aurai pû être gentille ! mais là déjà que mon poulain n'en faisait qu'à sa tête mais en plus cette pimbêche venait faire le travail à ma place ! Une petite voix me dis qu'elle n'avait fait que nous aider et justement qu'elle avait fait le travail que je refusais de faire mais ma muvaise fois l'emporta et ma mauvaise humeur s'assombrit d'autant plus. j'ouvris les grandes portes de l'écurie avec difficulté. Elles étaient lourdes. le cheval fis un écart en entandant le grincement. je retins un sourpis d'éxaspération et entrai. Il y avait pas mal de chevaux dont des juments et Srpico se mis à hennir tout éxité. En temps normal ça m'aurait fait rire mais au lieu de ça je soufflai :

Tais toi !

J'apperçus un box libre mais il se trouvait entre deux box occupés. Inconsciemment je continuais à m'enfoncer dans l'écurie pour lui trouver un box sans chevaux autours. j'en trouvais un parfait et le laçais à l'itérieur tranquilement. Puis je fermai le loquai et ressortai de l'écurie toujours aussi disatante avec ma monture. Pourquoi j'avais isolé mon cheval sans m'en rendre compte ? Aucune iddée surement je lui infligeai le même traitement qu'à moi qui ne voulais plus de compagnie. j'arrivais sous le soleil brillant et revenais vers mes parents. La brune n'était pas encore partie. Merde.

Kerya.Lys.David

La compassion, la compréhension =, ne parlez pas à Kerya de choses qu'elle ne peut pas envisager de ressentir

-"Oui je suis au courant merci !"

Kerya regarda la jeune fille qui venait de parler avec dégoût, dédain ainsi qu'avec une pointe de supériorité bien prononcé. N'y avait-il dans ce trou paumé qu'une bande de blonde démuni d'un cerveau et dont le language ne dépassait le stade de la primaire?

-"Très développé. Si tu le sait alors pourquoi ne le fais-tu pas?"

Tandis que la blondinette s'éloignait avec son étalon, Kerya leva lex yeux au ciel en soupirant, elle était fade, sans aucune classe ni personnalité,et comment ne pas s'appercevoir de la jalousie qui l'avait traversé lorsqu'elle avait aperçu Kerya menant son équidé,elle n'avait qu'à fair eson boulot elle-même, d'ailleurs si la brune n'avait voulut que la petiteécervellé ne cesse de lui donner mal à la tête, Kerya aurait laissé la famille dans son calvaire.N'y avait-il pas une seule personne digne d'être rencontré ici... apparement pas. Toujours adossé contre le mur, un petit sourire narquois se forma sur son visage lorsqu'elle vit la nouvelle se débattre avec la porte des écuries, pathétique. Mais elle retrouva son masque de glace lorsqu'un inconnu se racla la gorge pour signaler sa présence. La 'héritière fit volte face et attendu, quelques secondes que l'homme prenne la parole. Mais rien ne se produisit, exaspéré au possible par se manque d'intélligence et de logique. La demoiselle croisa ses frêles bras sur sa poitrine, et s'adressa à son interlocuteur d'un ton qui reflétait tout le mal qu'elle pensait.

-"Vous désirez?"

L'homme en question se grata l'arrière de la tête puis sursauta comme tiré d'une torpeur, se qui ne fit qu'agacer encore plus l'ancienne championnne.

-" Oui... euh. J'ai une lettre à remettre à une certaine... Kerya Lys David."

-"C'est moi même."

Encore une fois, la jeune fille attendit la réaction logique du coursier qui se fit désirer, il fixa la brune sans prononcer un mot ou faire le moindre geste. Une telle stupidité ne pouvait pas être réelle pensa l'adolescente en tendant sa main, puis elle ordona d'une voix sèche

-"La lettre."

Le pauvre postier bredouilla quelques mots avant de fouiller dans son sac durant 3 bonnes minutes avant de tirer comme un trophé la fameuse enveloppe. Mieux vaut tard que jamais se dit la jeune David, tendit que la papier attérisait au creux de sa main. Elle le saisit et jeta un coup d'oeil à l'expéditeur "John David", John David, son géniteur n'avait pas une écriture aussi fine et délicate, merci sandra pesta intérieurement Kerya. Puis sans le moindre ménagement elle déchira en deux l'enveloppe nacré qui tomba, emporté par le vent, dans une flaque de boue. Durant tout ce temps, l'homme était resté là, sans bouger. Arquant un sourcil, la miss mit un terme à la revérit de l'individu qui se tenait devant-elle.

-"Vous pouvez disposer."

Le coursier s'éloigna alors sans demander son reste. Il est vrai que Keray n'est pas la personne la plus aimable qui soit en ce jour. Poussant un long soupir, la jeune fille, resséra son blazeur sur son corps trop mince, avec la maigre illusion que cela lui approtera de la chaleur. Cependant, à la vue de l'échec de son entreprise, elle se résolue à s'avancer vers la demeure des Fleming. C'est alors que La blonde ressurgit, d'une humeur grincheuse sans aucun doute. Mais la princesse Kerya ne lui prêta pas attention et avança à la suite du couple vers le porche. Ces derniers étaient complètements perduent, avec une fille comme la leur, il n'y avait pas à chercher bien loin pour obtenir uen réponse. Mais s'étaient eux qui avaient fait l'éducation de leur progéniture, il n'avait qu'à s'en prendre à eux mêmes.

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